La crise sanitaire et l’essor considérable que connaît le e-commerce depuis 2 ans ne laissent planer aucun doute quant à l’évolution des sociétés modernes vers une économie toujours plus numérique. Les nouvelles réalités du marché et les nouveaux modes de travail imposent ainsi aux entreprises le recours à des outils de communication, gestion, comptabilité et stockage de plus en plus performants afin de maintenir leur compétitivité. Une stratégie de transformation digitale peut de prime abord sembler contraignant, mais se traduit in fine par des gains de temps considérables et des performances accrues.
Les suites collaboratives sont désormais indispensables à la mise en œuvre d’une digital workplace efficace, qu’il s’agisse de Google Workplace – Gmail, Drive, Meet etc.– ou de Microsoft Office 365 – Word, Excel mais également Teams, One Drive… La communication nécessaire au bon déroulement de toute activité évolue également sous l’effet du télétravail, du flex office et du nomadisme professionnel ; pour mieux centraliser les échanges entre collaborateurs, les outils digitaux tels que Slack, Microsoft Teams ou Google Meet assurent la diffusion efficace de l’information selon une logique participative favorisant l’implication de chacun.
À cela s’ajoutent les plates-formes intranet, véritables réseaux sociaux internes favorisant la culture d’entreprise et la productivité, ainsi que les CRM (customer relationship management) qui renforcent le lien entre les entreprises et leurs clients à travers la collecte et l’analyse de données : un outil digital indispensable à la mise en œuvre d’une stratégie de marketing digital et/ou de référencement ayant un impact réel sur la toile. Enfin les CMS sont également incontournables lorsqu’il s’agit de créer/gérer un site Internet ou une application à même de fournir une expérience utilisateur optimale.
Or la transition digitale des entreprises ne laisse aucune place au hasard et doit s’opérer de façon pragmatique – quels outils digitaux choisir ? Quels sont les postes de travail concernés ? Aussi est-il nécessaire en premier lieu d’identifier les process et activités qui doivent/peuvent faire l’objet d’une digitalisation. En tant que spécialiste du pilotage d’entreprise, le directeur administratif et financier externalisé veille à l’optimisation et à la personnalisation de la relation client, ainsi que des relations avec les partenaires commerciaux. Il est ainsi le mieux placé pour accompagner l’entreprise dans la mise en œuvre d’une stratégie digitale cohérente, et déterminer les domaines au sein desquels l’outil digital représente une valeur ajoutée.
Outre la dématérialisation des factures qui sera obligatoire en 2024, plusieurs outils de gestion sont à la disposition des entreprises : à travers une connaissance de l’écosystème de l’entreprise et de ses forces et faiblesses, le DAF externe sera à même de choisir ceux qui s’adapteront le mieux aux spécificités de ses clients et à leurs objectifs. La transformation numérique implique ici l’utilisation d’outils permettant notamment d’automatiser/gérer la paie des salariés aussi bien que le processus RH, l’entreprise gagnant ainsi en efficacité et rapidité. Toujours dans le domaine des ressources humaines les outils digitaux viennent optimiser le processus de recrutement – et en réduire les risques – grâce à l’intelligence artificielle.
Lorsqu’il est question de digitalisation d’activités financières, RH, comptables ou de gestion, il est évident que l’entreprise n’a pas droit à l’erreur dans le choix des outils et l’étendue de leur application. Sans surprise, le DAF externe est ainsi de plus en plus sollicité par les PME engagées dans une démarche de transition digitale à même de booster leur compétitivité et leur CA dans le cadre de la nouvelle économie numérique.